A l’approche des élections législatives, l’Union des employeurs de l’économie sociale et solidaire a choisi d’attirer l’attention des députés en exercice et des députés candidats, sur les enjeux des structures de l’ESS, et leur propose des mesures prioritaires de soutien au secteur.
Chaque député et députée a l’opportunité et la responsabilité d’examiner, de proposer et de voter les grandes réformes à venir. Or, pour amorcer un changement social et économique fort et pour contribuer à soutenir le développement de nos entreprises et structures, quatre actions apparaissent prioritaires aux adhérents de l’Union :
- Créer un crédit impôt recherche « innovation sociale » pour favoriser le financement des programmes des entreprises à but non lucratif.
- Réserver 15 % des marchés publics à l’ESS en élargissant les clauses sociales et environnementales et simplifier les procédures de réponse aux appels à projet.
- Réformer la fiscalité pour développer l’emploi durable dans le secteur associatif.
- Développer la place des organisations patronales multi professionnelles telles que l’UDES dans le dialogue économique et social, et modifier les modalités de financement des dites organisations dans l’association de gestion des fonds du paritarisme (AGFPN).
Par leurs formes participatives et démocratiques, les associations, coopératives, mutuelles et entreprises sociales qui composent notre secteur, sont fortement engagées dans la création, le maintien et le développement du lien social et des emplois locaux. Parmi les 60 propositions rédigées dans le Manifeste de l’UDES en amont de la Présidentielle, l’UDES met en avant quatre grands axes qui méritent d’être placés au cœur de la réflexion relative à l’élaboration des politiques publiques : la Jeunesse, l’Insertion et l’Emploi, l’Ecologie, la Protection sociale. Vous les trouverez jointes à ce communiqué.